SUr CFM Radio, GRANDE VIE ET PETITE MORT DU POÈTE FOURBE, LA VIE DES ANIMAUX & LES CORBEAUX BRÛLÉS d’Éric ALLARD

Où je parle de quelques-uns de mes ouvrages sur CFM RADIO, à La Louvière, dans Une heure à la bibliothèque, à l’invitation de Véronique JANZYK et, avec David BRUSSELMAN à la réalisation technique.


« On est toujours sur la sellette de quelqu’un, même quand on est quelqu’un de sympa, Eric Allard ne s’y trompe pas. Gentil, mais pas naïf…
Il évoque aussi son dernier opuscule, La maison des animaux, aux éditions Lamiroy.
Eric Allard est aussi auteur de poésie (voir son recueil Les Corbeaux brûlés, éd du Cygne). Un auteur qu’il apprécie ? René Char… »


« Régler ses comptes aux poètes mais pourquoi donc !? « Parfois ils m’insupportent, mais pas au moins de les haïr, non, parfois j’ai envie de moquer leurs travers. Le poète fourbe sert à se faire valoir par ses comportements, pas par son art. J’égratigne les faux rebelles… J’en observe et je ne m’exclus pas tout à fait de la catégorie ! » « 


Je dédicacerai Grande vie et petit mort du poète fourbe samedi 21 mai 2022 après-midi à la Bibliothèque Marguerite Yourcenar de Marchienne-au-Pont (Place du Perron, 38), dans le beau cadre du Château de Cartier, à l’occasion de la Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement.

Découvrez toutes les activités du week-end des 21 & 22 mai à la Bibliothèque M. Yourcenar!


Je dédicacerai La Maison des animaux dimanche 22 mai après midi à la librairie du Mot Passant à 1090 Bruxelles (300, Avenue de Jette) dans le cadre de la séance de dédicaces de plus de cent auteur des Editions. Lamiroy (pour l’occasion, tous les Opuscules seront à 2€ – au lieu de 4 €)

Plus de 100 autrices et auteurs en dédicace au Mot Passant !


LE LIVRE DE SA VIE d’ÉRIC ALLARD sur le site d’AUXERRE TV

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« Raide dingue d’un livre, non mais ? Ça existe, ça ? On le dirait bien… »

 

Cet homme était tombé amoureux fou d’un livre.

À la première phrase, il avait compris que c’était le livre de sa vie. Il l’avait lu et relu des dizaines de fois et il n’en restait pas moins épris, raide dingue, bleu de bleu de ce livre. Il restait des heures à contempler sa tranche, à relire la préface, la postface, les pages liminaires, tout le paratexte. Feuilleter ses pages lui procurait des sensations inouïes…

Lire la suite ici 

LES ÉCRIVAINS NUISENT GRAVEMENT À LA LITTÉRATURE d’ÉRIC ALLARD (Cactus Inébranlable)

Mon recueil d’aphorismes et de textes courts vient de paraître au Cactus Inébranlable dans la collection des P’tits Cactus. 

Il est disponible dans les bonnes librairies ou auprès de l’éditeur.

Je serai présent, pour le dédicacer, sur le stand du Cactus à MON’S LIVRE le dimanche 26 novembre 2017 après-midi.

 

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Les Écrivains nuisent gravement à la littérature, Éric Allard, collection P’tits Cactus #37, format 10/18,5, 94 pages, ISBN 978-2-930659-68-8, 9 €

Pour paraphraser Chardonne, on peut dire que l’amour de la littérature, c’est beaucoup plus que l’amour des écrivains. Ceux-ci, pauvres mortels, peu aidés des Muses, n’accèdent qu’exceptionnellement à la postérité. Face à la foi qui anime le lecteur, l’écrivain est rarement à la hauteur.

 Sur un ton tantôt badin, tantôt vachard, ces aphorismes et nanofictions écornent celles et ceux qui, le temps d’un livre ou d’une œuvre, font impression sur la scène littéraire tout en rendant hommage à leur bravoure. Car, à n’en pas douter, à chaque phrase, l’écrivain (et a fortiori l’auteur d’aphorismes) vise à rien moins qu’à réinventer la littérature. (É. Allard)

 

Éric ALLARD est né en 1959, un jour de carnaval, à Charleroi où il réside et travaille en tant que professeur de mathématiques et de physique.
Co-animateur d’une revue littéraire pendant de nombreuses années, il gère depuis 2009 un blog-notes littéraire, Les Belles Phrases, qui fait la part belle aux chroniques de livres, aidé en cela par des chroniqueurs (Philippe Leuckx, Denis Billamboz, Nathalie Delhaye, Lucia Santoro, Philippe Remy-Wilkin et Julien-Paul Remy), ainsi qu’à ses textes courts (contes brefs, aphorismes et poésie).

Publications : Deux livrets de critique littéraire au Service du Livre luxembourgeois (consacrés à Nicole Malinconi et Alexandre Millon), Penchants retors (Microbe, 2004, puis version augmentée chez Gros textes, 2009), Les corbeaux brûlés (Ed. du Cygne, 2009), Les lièvres de jade (avec Denys-Louis Colaux, Ed. Jacques Flament, 2015). Des publications en revue et des participations à quelques ouvrages collectifs dont deux recueils de textes parus chez J. Flament en 2017 et Assortiment de crudités au Cactus Inébranlable (2011).

Le livre sur le site du Cactus Inébranlable

 

RÉSONANCES, un recueil collectif réunissant images & textes, aux ÉDITIONS JACQUES FLAMENT

Dans ce recueil collectif, Jacques Flament a rassemblé 149 textes, de 82 auteurs différents, écrits à partir de 25 photographies.

J’y figure avec trois textes ainsi de même que quelques ami(e)s et connaissances: Denys-Louis ColauxCarine-Laure Desguin, Nathalie Delhaye, Lorenzo Cecchi, Martine Rouhart, Michel Thauvoye, Véronique Dubois, Véronique Pollet, Ziska Larouge

Des textes courts, des nouvelles brèves, de la poésie…

À noter aussi que tous les droits iront à l’association MOTS ET MERVEILLES qui lutte contre l’illetrisme.

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Pour commander le livre sur le site des Éditions Jacques Flament

CE QUE, S’IL FALLAIT CROIRE, JE CROIRAIS AVOIR ÉTÉ de DENYS-LOUIS COLAUX (Ed. Jacques Flament)

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ALORS, IL FAUT QUE JE VOUS DISE…

Je n’ai pas l’habitude d’être dithyrambique avec mes auteurs, de peur d’être accusé de rabatteur, de proxénète littéraire voulant placer ses filles, d’éditeur rigolo totalement partial usant de son aura facebookienne pour hisser des incompris vers les sommets héroïques de la gloire éphémère. Donc, je n’en rajoute jamais car, au fond, non seulement je suis partie prenante mais en plus, je n’ai pas la vérité universelle et mes choix littéraires ne sont pas nécessairement partagés par le plus grand nombre. Y a qu’à voir la liste des best-sellers pour se rendre compte que je fais dans la différence et souvent à l’opposé des profils bancables.
Mais il en est quelques-un(e)s, chez moi (qui se reconnaîtront, mais je ne citerai pas de nom pour n’oublier personne) qui mériteraient pourtant d’être autrement plus reconnus qu’ils ne le sont et qui me font souvent pester face au manque de discernement récurrent de ceux qui sont censés nous les mettre en lumière.
Je m’égare et me calme avant de m’énerver, ce n’est pas bon pour mon cœur de sportif vieillissant !
Bref ! Il faut quand même que je vous dise que j’ai entre les mains le livre du siècle, et qu’il faut vraiment, vous qui me faites l’honneur de me suivre, vous le procurer sans coup férir.

Bon, c’est vrai, j’ai des circonstances atténuantes.
Colaux, Denys-Louis de son prénom – comme Crousse, Maray et Sanchez – sont des compagnons d’édition de longue date, puisque déjà trente ans avant que Sarkozy ne décide de se recommander derechef à une population sclérosée et amnésique, Colaux faisait paraître dans les pages d’un mystérieux magazine littéraire belge (que je publiais alors en toute bonne foi), des « Pages d’amour » que d’aucuns devraient lire pour comprendre ce qu’aimer veut dire (va falloir que je redemande une nouvelle fois au gaillard de republier ce morceau d’anthologie !). C’est dire si l’homme est persévérant, voire pugnace, voire peu rancunier. 
Et même si rien ne l’indispose comme l’avis (favorable ou insupportable) des gens sur ses écrits, il faut que je vous dise que Colaux est un magicien, un David Copperfield de la libre inspiration, un collectionneur de « Lièvres de jade » (avec Allard), un chercheur d’art et de mots unique, un passeur d’émotions, un piroguier de l’âme à zone tempétueuse, un élément respectable, unique et ô combien appréciable dans le paysage morose actuel. 
Il faut lire Colaux comme on lisait Baudelaire naguère. Avec envie, enthousiasme et nécessité. Parce qu’il est plus que nécessaire à notre époque de remettre à l’ordre du jour la belle ouvrage dans des pays (l’Hexagone et son voisin ledit plat) où l’on consacre sur l’autel du talent de bien piètres brûlots et objets de papier sans âme.

Le dernier livre de Colaux, que j’ai l’honneur de publier, c’est beau comme des cris d’enfants dans un cimetière de Prague sous le soleil, comme le cul de la Vénus de Milo à travers un vitrail de Samuel Coucke, comme les « Larmes de Jacqueline » au violoncelle et c’est savoureux et mousseux comme une trappiste bleue de Chimay bien fraîche qui se répand dans un verre ballon. Ça s’étale et exhale. Colaux vous prend par la main, vous apprend à être curieux, à être intelligent, à penser avec intelligence, raffinement, discernement et une grande liberté. Une pépite dans un tas de sable. Je me répète : un vol d’albatros dessus la morne mer ambiante. 
Et nom de Dieu, je défie n’importe quel chroniqueur littéraire digne de ce nom qui aura ce livre entre les mains de ne pas en sortir étourdi. Il y a bien trop d’abrutis médiatiques qui occupent la chaire médiatique, pour qu’une fois, une seule fois, vous ne vous laissiez aller à vous repaître, messieurs dames, et sans tarder, d’un authentique Sancho Quichotte dont vous me direz des nouvelles. Son amour des femmes et la phosphorescence de ses mots éclairent définitivement, à la façon des vers luisants dans la nuit chaude, les bassesses obscures de l’ordinaire.

Jacques Flament, éditeur enthousiaste

 

1172878073.jpgLe livre sur le site de l’éditeur

Le blog personnel de Denys-Louis Colaux

Les coups de coeur artistiques de Denys-Louis Colaux

 

L’IMPéRATIF N°1

limperatif-couverture-1.jpgIl est encore temps de se procurer le N°1 de L’IMPéRATIF (jusqu’au 6 mai) chez tous les bons marchands de journaux et magazines de France et de Belgique. Au prix de seulement 6 euros.

Après un édito enlevé et engageant de Jacques Flament pour remettre la culture au centre de notre vie (« la vie ne reprend son sens qu’avec les forces de l’esprit, le savoir »), on peut lire des interviews au long cours (comme on en lit peu; j’ai pensé aux premiers numéros des Inrocks dans les années 80) qui nous plongent au sein d’une démarche artistique avec du fond et du recul.
Au sommaire de ce numéro 1, des écrivains: Didier DAENINCKX (pas tendre avec l’univers du polar), Pierrette FLEUTIAUX et Catherine CUSSET. Un cinéaste (celui notamment de Joyeux Noël, L’affaire Farewell, En mai fais ce qu’il te plait): Christian CARION. Un auteur-compositeur interprète: DOMINIQUE A. Un directeur de théâtre: Christophe RAUCK. Un artiste performer: Olivier DE SAGAZAN. Et un dossier sur la connaissance au temps des nouvelles technologies qui pose la question: « Pourquoi apprendre à l’ère de Google? » par Sonia Bressler.
Le tout traversé d' »effervescences impératives« , des coups de coeur touchant tous les domaines de l’activité artistique du moment.
Le prochain numéro du trimestriel (avec Guy BEDOS) est prévu pour juin.

E.A.

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EN SAVOIR PLUS SUR L’IMPéRATIF

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LES LIÈVRES DE JADE de DENYS-LOUIS COLAUX & ÉRIC ALLARD (Jacques Flament Éditions)

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Jacques Flament: « Un instant de clarté fait admettre les jours de suie, les années de fumée. » 

Cette phrase extraite du premier mouvement des Lièvres de jade pourrait résumer le sentiment qui fut mien, après avoir mis en page cet ouvrage mémorable de ces deux poètes du plat pays, injustement ignorés dans l’Hexagone. Mais c’est bien connu, nul n’est prophète dans le pays des autres, et encore moins dans celui qui met Levy et Musso sur un piedestal et renie la poésie après l’avoir encensée. Mais tuons dans le terrier toute polémique stérile, Allard et Colaux sont là avec leurs lièvres et leurs sélèn(it)es aventures et c’est du lourd : 123 grammes de prose poétique hilarante. Un bon, très bon moment qu’il ne faut en aucun cas dévoiler a priori, et à ne manquer sous aucun prétexte : du talent à l’état pur et un râble de lièvre sauce moutarde qui monte au nez, à consommer de préférence avec une bière d’abbaye, dont on se souviendra très longtemps. »

Thierry Radière: « Le petit dernier de la collection Paroles de poètes, éditions Jacques Flament, vient de sortir. Il s’agit d’un recueil de textes en prose écrit à quatre mains par Denys-Louis Colaux et Eric Allard. L’ensemble est vraiment original et se présente en deux parties comme une variation autour du thème de la lune. C’est plein d’humour, de sensualité et de surréalisme. Je vous le recommande vivement. »

Pour le commander c’est ici :
http://www.jacquesflamenteditions.com/223-les-lievres-de-j…/

RÉSUMÉ

Il faut se méfier des types obsédés par le sens, les lunettes astronomiques, la raison et l’hygiène.  Craindre les gens qui détestent le jazz, la note bleue, la volupté, les anges assis dans les bars. Être un Gaulois, c’est vrai, mais pas moins qu’un Iroquois, un Gitan, un arracheur de molaires, un fruit étrange balancé dans les sycomores de Villon, un Don Juan amoureux, un Don Quichotte futé, un bouffon, un muscadin, un clampin polymorphe. Tous ces éléments nous ont conduits, Allard et moi, à écrire ce livre.  (Denys-Louis Colaux)

En allant d’un point A à un point B, on n’arrive pas forcément à rattraper le cours du tendre mais bien sur la Lune et c’est là qu’il faut savoir distinguer un poète d’un carambouilleur, la voix de Billie (ou de Lhasa ou de Polly Jean) du bruit de fond de l’univers, une femme nue d’un opéra fabuleux, un parterre de nymphes d’un plateau de fruits de mer, et marcher sur la pointe des pierres pour ne pas effondrer la montagne de rêves qu’il nous tarde d’escalader par son versant ombreux. Tous ces éléments nous ont conduits, Colaux et moi, à écrire ce livre.   (Éric Allard)

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Les illustrations sont de Laurence Burvenich

Lire des extraits et en savoir plus sur le blog de Denys-Louis COLAUX

La page événement sur Facebook (qui donne accès à un voyage sur la lune)

NOUVEAU: Le groupe Facebook constitué autour du livre

RENCONTRE LITTÉRAIRE avec CARINE-LAURE DESGUIN à la BMY de MARCHIENNE-AU-PONT

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Carine-Laure DESGUIN a écrit C’EST LE MÊME DÉCOR, un recueil de nouvelles « durassiennes ».

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Le livre sur le site d’Edilivre

 

Elle publie aussi un recueil de poèmes, DES LAMES & DES LUMIERES, aux éditions Le CoudrierDeux livres dont j’ai eu le plaisir d’écrire les préfaces.

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Le site des Editions Le Coudrier

 

Avec Serge Budahazi, le bibliothécaire, et l’auteure, nous nous entretiendrons de ces deux livres, de Duras, de poésie, du Tarot autour duquel est construit son recueil de poèmes…

Ce sera le JEUDI 15 OCTOBRE 2015 à 19h 30 

A la Bibliothèque Marguerite YourcenarChâteau Bilquin de Cartier, place Albert 1er, 38, à Marchienne-au-Pont !

Entrée gratuite, facilités de parking, verre de l’amitié…

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Page Facebook de la rencontre  

La rencontre sur le blog de Carine-Laure

L’annonce sur Quefaire.be

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Présentation de MÉANDRES de Salvatore GUCCIARDO à la Bibliothèque Marguerite Yourcenar

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J’aurai le plaisir de présenter, avec la complicité de Serge Budahazi, Salvatore Gucciardo en tant que poète pour son recueil bilingue (français/italien) Méandres sorti chez Chloé des Lys, préfacé par Jospeph Bodson et traduit en italien par Maria Teresa Epifani Furno.

Cela se passera le jeudi 10 septembre 2015 à 19 heures dans le beau cadre du Château de Cartier de Marchienne-au-Pont qui abrite les locaux de la bibliothèque communale. 

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Quelques lectures de Méandres

Ma lecture de Méandres 

« Alchimie spirituelle, métaphysique de l’être, théorie de l’évolution de Teilhard de Chardin… sont quelques-unes des philosophies ou disciplines auxquelles Méandres emprunte des éléments pour déployer son univers poétique particulier. (…)

Habile dispositif ouvert à plusieurs interprétations, Méandres ne s’apprivoise pas en une seule lecture et se complète des peintures de l’artiste (au nombre de quatre) qui accompagnent ce parcours pour donner une vision de la condition humaine et cosmique qui a à voir avec l’art, l’âme et la lumière et à laquelle chacun donnera l’interprétation qu’il veut selon son vécu, ses références artistiques et culturelles. Un second recueil (après Lyrisme cosmique en 2011) qui nous fait entrer plus avant dans l’univers si singulier de l’artiste avant tout poète, des mots et des images. » E.A.

Méandres par Jean-Paul Gavard-Perret (sur le site de Traversées)

« Gucciardo ne cesse d’oxygéner la distance qui sépare l’homme – en ses miels et sels obscurs – du cosmos. Il balaie l’horizon noir, opte pour la lumière en faisant le tri dans des « sentiments entremêlés » envahis de chiendent et autres mauvaises herbes au sein des profondeurs de l’être. En effet, à l’heure de leur départ de quelle étroite blessure se souviendront les hommes s’ils ne font que se laisser bercer sous les laves du ciel ? Le poète se rappelle ainsi au bon souvenir de ceux qui ne cultivent que l’image matérialiste emmagasinée dans leur cervelle. Le poète – en Salvatore donc en sauveur – en rappelle le miaulement macabre et les miasmes.(…)  » J.-P.G.-P.

Méandres par Pierre Schroven (sur le site de Traversées)

« Rythmés par le souffle du cosmos, ces poèmes insolites voire mystérieux tentent de transmettre une vision lumineuse et joyeuse du monde ; mieux, ils fondent l’espoir dans le désespoir ambiant et mettent en joue une réalité dont le destin n’est écrit nulle part. 

Au détour de chaque page, Gucciardo se risque aux frontières de l’inconnu, dissipe les certitudes du quotidien, traque ce que la vie dissimule et considère celle-ci dans son infinité ; bref, il cherche à percevoir le chant originel de l’univers pour renouveler sa vision du monde et dépasser l’ombre d’une vie sans cœur.

Méandres est une ode à la vie dans ce qu’elle a de merveilleux mais aussi de plus sauvage, mouvant et mystérieux. » P.S.

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Le site de Salvatore Gucciardo