Quand le songe est tombé sur la ville, toute la vie a ralenti, la lumière freina ses rayons, les avions roulèrent à la vitesse des voitures et les voitures à celle des vélos. Et moi qui me rendais chez toi, je n’arrivai jamais et je reçus ton message d’adieu au matin, quand le songe était passé.
4 commentaires sur “Le songe”
Les commentaires sont fermés.
Il y a une référence temporelle qui gâche.
J’aimeJ’aime
C’est beau ce passage dans une autre dimension du temps sur fond de disparition d’amour …
J’aimeJ’aime
J’aime le songe quand j’y songe…
La poésie du flottement.
J’aimeJ’aime
Merci à tous les trois. OK Éric, j’enlève la référence temporelle.
J’aimeJ’aime